Activité récente
droiture72200 rejoint Loomji
Récompenses (0/6)
En quelques mots...
Les messages
De "Droiture72200" (Association "Droiture en Pays Fléchois" présidée par Christophe Beaupère) crée le 11-10-2017, pas de contributions, pas de photos. Si l’on clique sur "Site perso/ blog" on est renvoyé sur une foultitude de paires de chaussures et le compte de la "Page Twitter" n’existe pas.
Pas de publications, pas de commentaire aux deux que j’avais postés les 16-10-2017 et 19-01-2018. C’est donc une bouteille à la mer que je lance puisque la titulaire du site ne s’est pas beaucoup (voire pas du tout) investie depuis sa création. Sans doute n’a-t-il été initié que pour la curiosité de visiter, sans trop s’impliquer, quelques blogs relatifs à la ville de La Flèche.
Dans un premier commentaire, je m’étais interrogé sur le mot « Droiture » qui me semblait très dur, très sec trop "claquant" et, pour tout dire, très à droite. https://www.stmartinweek.fr/2017/04/20/christophe-beaupere-soutien-just-on-time-a-dupont-aignan/13526
en matière re communication. Mais depuis, dans sa définition que j’ai relue, il peut être question de vertu, probité, justice, bonne foi (qualité d'une personne qui se comporte et parle selon sa conscience, qui agit avec franchise, dont l'intention est bonne, droite, correcte, qui peut reconnaitre son erreur et s’en excuser. Juridiquement il s’agit de la croyance d'une personne de se trouver dans une situation conforme à la loi, agissant consciemment sans atteindre aux droits d'autrui. On découvre aussi le mot honnêteté autrement dit le caractère instinctif de ce qui est conforme à la morale, à la vertu et à la probité dans son rapport à autrui. Toujours dans la même veine, il se peut qu’on arrive aussi à bienveillance et ses synonymes : bonté, compassion.
Dans le second, je m’étais interrogé en matière de transparence sur le flou de l’étiquette de la liste ainsi que sur l’hésitation des membres du Bureau à dévoiler leur nom.
Du coup, la réunion des deux listes « Droiture en Pays Fléchois » et « La Flèche Autrement » en une seule “Ensemble pour le renouveau de La Flèche” ainsi qu’un souci (apparemment) sincère de transparence et d’une charte éthique exigeant des élus un comportement irréprochable m’ont :
> dans un premier temps réjoui,
> intéressé de découvrir, au fur et à mesure de l’égrènement de ladite liste, quelques noms connus et respectables,
si bien que j’aurais été presque prêt à y souscrire, voire la soutenir…
JUSQU’A LA PRESENTATION (au demeurant conforme à la date prévue, soit fin janvier) DES TREIZE DERNIERS NOMS !
La conductrice responsable, par son extrême imprudence, de l’accident de voie publique handicapant A VIE ma compagne et qui avait suscité mon indignation tant par son extrême imprudence que par (et surtout) sa désinvolture et son manque d’humanité, y figurait ! Ainsi que, cerise sur le gâteau si je puis dire, le témoin de l’accident qui m’avait signalé – ce qui devrait, aujourd’hui et pour le moins, lui poser quelques états d’âme, s’être demandé « ce qui se serait passé sans sa présence à proximité de l’accident... »
►Légal mais moral ? ("Courrier des lecteurs" du journal Ouest-France paru en mai 2017) Avec un peu plus d’un mois de recul, je veux soumettre à l’appréciation des lecteurs les faits suivants :
Le lundi 13 mars dernier, ma compagne se rend, en vélo - puisque cela fait partie de la thérapie - chez le kiné pour soigner son algodystrophie du genou droit. Elle est brusquement renversée par une automobiliste qui, malgré une parfaite visibilité, a grillé le panneau « Cédez le passage » et parfaitement ignoré les bandes blanches d’arrêt marquées au sol. « Je ne vous ai pas vue » dira-t-elle précipitamment avant de laisser son nom à un témoin providentiel (que je remercie infiniment en me posant la question, que lui-même s’est posée, de savoir ce qui se serait passé sans sa présence à proximité de l’accident), puis en disparaissant tout aussitôt, prétextant un rendez-vous urgent. Légal donc… probablement.
Conduite aux « Urgences », la victime sera, dans un premier temps, opérée, puis réopérée le vendredi suivant, pour remplacer, par une prothèse, sa pauvre épaule droite éclatée.
Nous sommes le 19 avril et ma compagne est toujours à l’hôpital. Croyez–vous que cette conductrice (dangereuse puisqu’elle n’a pas respecté le Code de la Route) ait pris soin de se renseigner sur l’état de sa victime ? A ma connaissance, non. Impossible de porter plainte tant que l’enquête n’est pas bouclée. Je suppose donc qu’elle continue, malgré des faits répréhensibles, de conduire et constitue ainsi une potentielle menace pour d’autres usagers.
Malgré le courage de la blessée, outre l’extrême douleur supportée, l’important préjudice physique causé, la répercussion néfaste sur le moral et l’influence nuisible sur son psychisme, qui, du chirurgien, des psychologues, de l’ergothérapeute, des kinésithérapeutes, plus tard des experts, va pouvoir estimer réellement la souffrance endurée ?
Pourtant, pour nous deux, ce n’est pas tant – même s’il y prend largement sa part - l’accident lui-même qui préoccupe notre esprit mais le comportement général de la conductrice. Dans quel monde vivons-nous ? Qu’y a-t-il, en effet, de plus urgent, que la vie d’une personne ? Est-ce humain de ne pas se soucier de la victime que l’on a imprudemment blessée ? Bien sûr, il y a pire ailleurs, les événements nous le montrent, malheureusement, chaque jour.
Alors, je repose la question : légal ou moral ?
► De quel côté penche la balance ? (proposé après le jugement du 26-10-2017 au "Courrier des lecteurs" du journal Ouest-France mais non retenu))
On ne commente pas, dit-on souvent mais à tort, une décision de Justice. Dans ce "Courrier des lecteurs", il n’est évidemment pas question de « chercher à jeter le discrédit, publiquement […] dans des conditions de nature à porter atteinte à l’autorité de la Justice ou à son indépendance. » mais il s’agit simplement de relever quelques "interrogations" d’une victime d’accident, confrontée pour la première fois à ses arcanes, lors du déroulement d’une « Convocation devant le Tribunal correctionnel ».
Dans le cadre de sa "reconstruction ", la victime d’un accident de circulation sur la voie publique il y a quelque 7 mois, a cherché notamment, puisqu’il est communément admis que cela y participe, à mettre un visage sur la conductrice responsable de ce drame – car c’en est un, en tout cas pour la victime – qui n’est pas restée auprès d’elle au moment des faits ni n’a jamais daigné, depuis, montrer la moindre qualité d’humanité en prenant, par exemple, de ses nouvelles ou en prononçant quelques mots d’excuses, voire en affichant un soupçon de compassion. Il est vrai que, comme il a été dit au cours de l’enquête, c’est cette conductrice pressée, imprudente - et par conséquent dangereuse - qui aurait été traumatisée…
L’occasion d’exprimer l’ombre d’un regret, comme l’a supposé – à tort, on le verra - l’accompagnatrice bénévole du Bureau d’Aide aux Victimes, dont je veux ici souligner le rôle important d’information et de soutien, allait vraisemblablement lui être donnée au cours de cette audience.
Eh bien ! La victime a été servie. Une sorte de monde à l’envers. Pas de considération pour la plaignante, pas de droit à la parole (hors identité et demande si elle se portait partie civile ; en l’occurrence non, comme conseillé) non plus. La conductrice fautive, présente à l’audience, droite comme un I à la barre, sans un regard pour sa victime, s’est contentée de reconnaître devant la juge ce qui avait été convenu (hors présence de la plaignante) auparavant dans le bureau du Procureur au cours d’une « Comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC) » puis a quitté la salle du tribunal, dès la fin de l’énoncé des sanctions, certainement aussi vite qu’elle avait quitté les lieux de l’accident, toujours sans la moindre marque d’attention, même tardive, à l’égard de l’infortunée victime.
On a beau expliquer, à la plaignante qui a du mal à l’admettre, la différence entre « "le pénal" le "civil" et une entente "à l’amiable" avec l’assurance, dans un département comme la Sarthe qui déplore un bilan catastrophique en matière d’accidents, ce n’est pas avec cette Justice-là, qui imagine entériner le volet pénal de cette affaire - toutes sommes confondues (amende, infraction et stage de sensibilisation, je crois, à la Sécurité routière) - pour quelque 800 €, qu’une nécessaire prévention, certes, mais aussi le manque d’exemplarité d’une sanction à la hauteur des dommages irréversibles causés dans un tel cas, parviendront à modifier certains comportements aussi inqualifiables qu’injustifiables. Pas du tout certain que la Société y trouve son compte. A la question posée récemment dans le journal "Ouest-France’ : « Etes-vous en sécurité sur votre vélo ? », la réponse est, évidemment non.
En citant les quelques mots furtifs de la conductrice qu’a pu, malgré son état de choc, retenir la victime le jour de l’accident, quelle était donc l’urgence par rapport à une vie humaine d’un « rendez-vous aux Impôts » qui a amené cette automobiliste tellement « pressée », à « ne pas avoir vu » la malheureuse cycliste, ne pas respecter un panneau "Cédez le passage" pour, finalement, venir la heurter et la projeter au sol au milieu de la route ?
De cette faute gravissime à l’égard des dommages causés mais presque "compréhensible" tant il s’en produit régulièrement, le pire restait à venir puisque la conductrice décidait (après avoir, pour être honnête, donné rapidement ses coordonnées à un témoin ô combien providentiel) de quitter les lieux sans même attendre l’arrivée des Secours et sans jamais, depuis lors, s’enquérir du sort de sa victime. Etonnant non ?
Nous savons tous que moralité et légalité ne font pas nécessairement bon ménage mais, à mettre en balance la sanction pénale, somme toute modique déjà mentionnée avec l’extrême douleur supportée - encore aujourd’hui et pour longtemps - avec courage par la blessée, le préjudice physique et esthétique à vie, la répercussion néfaste et à durée indéterminée sur son moral et son psychisme, l’important handicap constaté de prolongation en prolongation d’ITT, les séquelles irrémédiables d’une épaule fracassée remplacée par une prothèse et d’un nerf axillaire sectionné, prédites par tous les spécialistes au cours de visites et consultations contraignantes, pas sûr que l’idée d’équilibre et de mesure, représentée par une balance précisément, tenue dans la main gauche de cette femme, symbole de la Justice, aux yeux souvent bandés, soit bien respectée.
Ce qui est sûr, c’est que, dans ce cas, le bandeau semble plutôt la rendre beaucoup plus aveugle qu’impartiale et que le pouvoir puissant du glaive, tenu dans sa main droite, est bien plus "confondant" pour la victime que pour la coupable !
►► Inutile de dire que j'ai évidemment revu ma position en ce qui concerne cette liste - à laquelle je m'opposerai à ma façon si rien ne change - et que je suggère vivement à celui qui la conduit de vérifier toutes les qualités « éthiques » de ses co-listiers... y compris leur humanité. ◄◄
Je viens de lire l'article « Droiture : une 'main tendue à la minorité' » paru dans le journal "Ouest-France de ce jour 19 janvier 2018.
Une « liste d'intérêt local » pourquoi pas ? Mais déjà, « divers droite », donc une étiquette, brouille les pistes. Sans compter que « Aucun membre du bureau ne souhaite en revanche dévoiler son identité », selon l'affirmation du Président de cette association, me semble fortement "suspect" au moment où, dans notre société, tout plaide pour la transparence. Du coup, je me rallie à l'avis de Sylviane Delhommeau : « on souhaite avoir davantage d'information et savoir d'abord qui sont les membres de cette association »... ce qui me semble, en l'état, beaucoup plus prudent !
En faisant référence, je cite : « L’homme a œuvré pour le RPR, l’UMP et Les Républicains de 1995 à 2017 », pas sûr que "la Com" de cette nouvelle association soit parfaitement maîtrisée, quand on sait le rejet, pour ne pas dire les haines que cela peut parfois, voire souvent, susciter.
Par ailleurs, quand on connait l'allégeance qu'a pu faire son Président à Dupont-Aignan (futur Premier Ministre déclaré de Le Pen entre les 2 tours de la Présidentielle), et probablement celle à Wauquiez, l'homme « du grand écart permanent » ("Libération" 13-10-2017) et quasi certain ambitieux Président de LR, "droiture" sonne beaucoup (trop) comme "droite dure".
L'Association "Droiture en Pays Fléchois" a donc, selon moi mais je peux me tromper, beaucoup de souci à se faire.