marienord a partagé une photo de Vauvillers (70)
Un "circuit touristique" assez exceptionnel/Acte I
Illustrés par les trop peu nombreuses photographies (12) permises par ce site, mes propos seront relatés ainsi :
- dimanche 20 septembre : Askain, col d'ibardin pour le matin ; Ainhoa, Espelette et Saint-Jean de Luz pour l'après midi.
- lundi 21 septembre : la Route du Pas de Roland, Itxacsou pour le matin ; la route de Saint-Etienne de Baigory, le col d'Ispéguy et Saint-Jean Pied de Port pour l'après midi.
- mardi 22 septembre : "badinage" le matin ; découverte, je cite Jacques, du « climat océanique à tendance variable » en passant par Hendaye puis retour vers Bayonne pour l’après-midi.***REMARQUE*** :
Tout allait trop bien ! Je viens de me planter. Les compliments dithyrambiques de Françoise me conduisant à un excès de confiance mais la vieillesse étant ce que l'on sait : un naufrage, je viens de commettre une erreur fatale. Résultat : deux montages pour le prix d'un concernant la journée du 21 septembre ; le montage de la journée du 22 impossible à commenter. Je vais donc le faire ici en espérant qu'un dernier montage, réservé à quelques photos diverses et variées, sera encore possible.
Si l'on veut bien cliquer au centre de l'antépénultième photo, on comprendra le commentaire de la dernière journée (mardi 22 septembre) avant notre départ : « une promenade sous la pluie et sous le vent ». La route bordant l’Océan Atlantique nous a permis d'admirer, outre les rochers dits "les deux jumeaux" (au fait, Monsieur le Professeur honoraire de français, ne serait-ce pas un pléonasme ?), de courageux surfers et véliplanchistes.
On apercevra aussi la Bidassoa, fleuve côtier formant, pour quelques kilomètres, frontière entre la France et l'Espagne.
De Biarritz, nous n'aurons qu'une vue très lointaine mais nous effectuerons un court arrêt, un "vent soufflant à décorner les bœufs", à Hendaye.
Du retour vers Bayonne puis vers Saint-Pée, je ne voudrais pas manquer le passage aux abords de la déchetterie où il est « interdit de déposer... » et surtout de mentionner la visite éclair, improbable mais bienvenue chez Louise, la petite dernière de mamy Françoise.
Guétary, Bidart et la Barre de l'Adour (où mon œil exercé d'ancien militaire a clairement reconnu une section de "commandos marine", équipés et armés jusqu'aux dents, manœuvrer (nager) précisément dans les eaux inhospitalières de l'Adour) seront nos derniers sites aperçus ou traversés.
Vers la fin du trajet, un AVNI (arbre "volant" non identifié), perdu d'un véhicule utilitaire nous précédant, causera une vive émotion, sans toutefois nous porter préjudice, mais nous avons eu chaud !Même si je n'ai pas appris grand-chose sur l’histoire de Les Voivres (hormis le fait qu'Henri Morel aurait favorisé la fuite de résistants ou de réfractaires au STO, cachés dans la maisonnette face à la petite école), il y aurait encore beaucoup de choses à dire sur ce séjour, trop court bien sûr, mais tellement enrichissant (avec, cerise "noire" - les initiés comprendront - sur le gâteau, un petit entretien téléphonique avec Michel Vilmont, lui aussi sur la photo) et source d'une nouvelle mais solide amitié.
Avec, le lendemain, notre départ vers l'Auvergne, c'est ainsi que prend fin l'Acte I.