CAPC Musée d'Art Contemporain

Crédits photo CAPC Musée d'Art Contemporain de Bordeaux

Commune: Bordeaux (33) Adresse: 7 rue Ferrère

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Musée de France

plus de 700 oeuvres réalisées par 140 artistes, témoigne des tendances européennes et américaines des années 60 et 70 comme le renouveau critique de la peinture en France, le Land Art, l’Art Minimal, l’Art Conceptuel, l’Arte Povera. Les oeuvres de Sol Lewitt, Richard Long, Mario Merz, Daniel Buren, Simon Hantaï ou Claude Viallat témoignent de ces avant-gardes Le retour...  suite

plus de 700 oeuvres réalisées par 140 artistes, témoigne des tendances européennes et américaines des années 60 et 70 comme le renouveau critique de la peinture en France, le Land Art, l’Art Minimal, l’Art Conceptuel, l’Arte Povera. Les oeuvres de Sol Lewitt, Richard Long, Mario Merz, Daniel Buren, Simon Hantaï ou Claude Viallat témoignent de ces avant-gardes Le retour à la peinture, avec Jean-Charles Blais, la Figuration Libre (François Boisrond, Robert Combas, Hervé Di Rosa) et Transavangarde italienne (Enzo Cucchi) ainsi que les oeuvres des artistes espagnols comme Miquel Barceló et José María Sicilia illustrent les années 1980 Une vaste section est ouverte aux générations actuelles (Nan Goldin, Jack Pierson, Tony Oursler). Enfin, quatre artistes, Richard Long, Keith Haring, Niele Toroni et Max Neuhaus ont doté le CAPC musée d'art contemporain de Bordeaux d’oeuvres in situ, présentées en permanence Le CAPC musée d'art contemporain de Bordeaux propose toute l’année un programme d’expositions temporaires et des rendez-vous autour de l’histoire de l’art, la musique ou la danse contemporaines.

Thèmes:

Art moderne et contemporain

Artistes: Sol Lewitt, Richard Long, Mario Merz, Daniel Buren, Simon Hantaï, Claude Viallat, Jean-Charles Blais, François Boisrond, Robert Combas, Hervé Di Rosa, Enzo Cucchi, Miquel Barceló, José María Sicilia, Nan Goldin, Jack Pierson, Tony Oursler, Richard Long, Keith Haring, Niele Toroni, Max Neuhaus Architecture:

ancien entrepôt portuaire de denrées coloniales. Bordeaux a le privilège d’entrepôt permettent la réexportation sans taxes des denrées mais ne possède pas encore son entrepôt réel, contrôlé par la Douane. Pour le financer, l’armateur Pierre Balguerie-Stuttenberg préconise l’émission d’un emprunt de 800 000 francs. La Chambre de Commerce achète un terrain en bordure du...  suite

ancien entrepôt portuaire de denrées coloniales. Bordeaux a le privilège d’entrepôt permettent la réexportation sans taxes des denrées mais ne possède pas encore son entrepôt réel, contrôlé par la Douane. Pour le financer, l’armateur Pierre Balguerie-Stuttenberg préconise l’émission d’un emprunt de 800 000 francs. La Chambre de Commerce achète un terrain en bordure du port. Le choix de l’architecte se porte sur l’ingénieur Claude Deschamps qui vient d’achever le Pont de Bordeaux. Aidé de l’ingénieur Billaudel, il présente ses plans, comprenant une estacade et un débarcadère sur le fleuve. Les travaux commencent en septembre 1822. Grâce à un second emprunt de 300 000 francs, en mai 1824 l’Entrepôt est achevé après 21 mois de travaux. Il est ouvert en novembre. Les réserves et les greniers s'articulent autour d'un vide central "la grande nef" . L'utilisation de la pierre de Bourg, de la briquette des arcs ou des voûtes et du pin d'Oregon brun rouge pour les planchers et les poutres moisées et boulonnées confère à cet ensemble l'aspect d'un "Horreum" (entrepôt) romain. Le succès économique de l’Entrepôt dépassa les attentes de la Chambre de Commerce qui dut construire une annexe. Au début du 20e siècle, la façade principale fut masquée par la Bourse maritime, pastiche exigu du corps central du Palais de la Bourse. Le port d’industrialise alors et s’équipe de vastes hangars. Les Entrepôts de la place Lainé perdent leur raison d’être. En 1962, l’annexe est vendue et détruite. L’Entrepôt, loué, mal entretenu, donne des signes d’abandon. Dans un contexte de grandes rénovations urbaines, la désaffection de l’Entrepôt fait craindre sa démolition. En 1971 il est mis en vente. L’Entrepôt sera inscrit à l’Inventaire supplémentaire le 25 janvier 1973 et acquis par la Ville. En 1974, les architectes Patrick Mazery et Jean Pistre présentent un premier projet d’utilisation du site en lieu culturel. En 1975, la Ville a choisi, sous la direction de Michel Joanne, architecte en chef, deux architectes associés, Jean Pistre et Denis Valode, qui auront l’occasion assez exceptionnelle de suivre ce projet pendant plus de dix ans. A cette équipe se joint en 1984 Andrée Putman, chargée de l’aménagement intérieur et du mobilier

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